L'Heure des Porcs a sonné. L'écran allumé à fond,

          L'Heure des Porcs a sonné. L'écran allumé à fond, les sanctions contre les autres pensants aiguisées. L'ère des news a sonné les gens une fois encore et cela dure depuis déjà suffisamment longtemps. Molo sur le destroy, comme dirait l'autre que j'aime de tout mon être. Les langues se nouent plus qu'elles ne parlent. Les bouches singent des mimes humanistes d'antan, mais se referment à compter que les ventres se saturent. Cette planète aux molécules annelées veille, fort heureusement. Et fort heureusement, les news que forment ces chaînes ou entraves télécommunicationnelles ne me font que chaud et froid. L'un pour faux, l'autre pour toi. Vas-y, balances ta sauce à chaque fois au même stop de la grande aiguille. Nazi, gamin. Ah j'en oublie de notre temps qu'il n'est pas l'heure de nazifier qui que ce soit. Et bien, fault. Je nazifie, tu nazifies, il nazifie, nous nazifions, je nazifierai quelque soit l'absolue ingnominie du nord au sud, de l'est à l'ouest. Du énième degré rugissant au méridien ensoleillé, de l'endroit le plus reculé des ténèbres aux restes. L'heure des vindictes sonne chaque jour, chaque fois qu'on s'emmerde de tout notre être. Je m'emmerde donc je jette l'anathème. Je me rattrape quand je sais que je t'aime. Un sournois et tendancieux syllogisme me remonte par l'oesophage... : et si, tout bonnement, l'adoration, ah vas, je suis bourré. Bonne nuit et allez vous poser des questions ailleurs, bande de lecteurs. C'est l'heure.