Tout réside dans l'acceptation. Le désir de
Tout réside dans l'acceptation. Le désir de l'acceptation de tout. Toute mesure peut dissoudre les spleens. Je jure que je veux un verre doseur. Le partage est synonyme d'insecticide. Le cafard vit son chant du cygne. Le manque ne doit pas régner trop longtemps. L'écrasement des sujets est son plaisir gouvernant. Sa beauté doit en appeler d'autres. Sa singularité compte, mais pas contre. La modification du point de vue est utile. Si le panorama est reconnu. Le nœud qui serre la gorge et le ventre est temporaire. Il n'existe pas de liaison éternelle. La perte fait peur. La peur fait perdre le reste. Le sentiment agonisant est rude. Le sentiment interdit est aride. Le prolongement du rien est possible. La suite d'une fin est plausible. Creuser là où pousse une fleur fanée est un crime. Des pétales tombés se compose le terreau. Manquer une perche est pénible. Ne pas l'avoir vu est suicidaire. Le cœur est une horloge. A force de remonter, on s'use. L'oubli est une envie lâche et destructive. Lâcher ne signifie pas oublier, mais s'oublier. Les alcools sont faits pour lessiver le corps. Les amours mortes pour le ressalir. Les parents sont des amants ingognitos en solo. L'ignorer est d'une beauté passée. Le vol vaut moins que le survol. Les barreaux sont tordus mais plantés solidement. Les horizons étendus engluent les désespérances.